BIENVENUE

La Brasserie des cinq communes c’est 6 copains qui décident de garder le contact en organisant des dimanches autour du brassage. Ce sont des compétences et du matériel en constante progression depuis 2013. Ce son t des produits traditionnels et un artisanat qui suit des méthodes belges reconnues.

L’objectif est simple : des recettes constantes, des bières riches en goût et pauvres en amertume.

Dans le cadre de son activité, la Brasserie ne cherche pas le profit, mais le contact avec les passionnés du domaine. Elle limite son activité commerciale à l’acquisition de matières premières et au renouvellement de son infrastructure.

Vous pouvez retrouver nos bières à l’Éléphant dans la Canette (École-de-Médecine); au Marchand de Sable (Rue Vautier); et à l’Acolyte (Place du Marché). Nous essayons également de participer un maximum aux manifestations genevoises (présence annoncée sur nos réseaux sociaux).

Bonne visite !

BIENVENUE

 

La Brasserie des cinq communes c’est 6 copains qui décident de garder le contact en organisant des dimanches autour du brassage. Ce sont des compétences et du matériel en constante progression depuis 2013. Ce sont des produits traditionnels et un artisanat qui suit des méthodes belges reconnues.

L’objectif est simple : des recettes constantes, des bières riches en goût et pauvres en amertume.

Dans le cadre de son activité, la Brasserie ne cherche pas le profit, mais le contact avec les passionnés du domaine. Elle limite son activité commerciale à l’acquisition de matières premières et au renouvellement de son infrastructure.

Vous pouvez retrouver nos bières à l’Éléphant dans la Canette (École-de-Médecine); au Marchand de Sable (Rue Vautier); et à l’Acolyte (Place du Marché). Nous essayons également de participer un maximum aux manifestations genevoises (présence annoncée sur nos réseaux sociaux).

 

 

BRASSEURS

RECETTES

ANS D'ACTIVITE

BOUTEILLES/AN

BRASSEURS

RECETTES

ANS D'ACTIVITE

BOUTEILLES/AN

BRASSEURS

Nicolas Dartiguepeyrou, 32 ans, titulaire du brevet d’avocat. Il se passionne pour le VTT et pratique le badminton en club. Il occupe le rôle de président de la SÀRL.

Eugenio De Bilio, 31 ans, Enseignant. Il pratique l’escrime médiévale et se passionne pour les jeux de plateaux. Il est responsable des commandes et relations fournisseurs.

Nicolas Dousse, 31 ans, Ingénieur de Projets Techniques. S’intéresse à la mécanique de précision, la politique et s’exerce au tir sportif. C’est notre trésorier et responsable technique.

Olivier Glaus, 29 ans, Digital Product Owner. Il pratique le Curling et le Télémark dès que possible. Il exerce le rôle de responsable évenementiel et responsable clients.

Cédric Rinolfi, 31 ans, Juriste fiscaliste. Pratique le golf et s’intéresse à l’agriculture et aux produits de terroir. Administrateur en charge de la planification et l’organisation des brassages.

Michael Savary, 33 ans, Intégrateur IT. Il s’entraîne à la natation compétitive et se fascine pour la mobilité douce. Il s’assure des contrôles qualité et de la gestion des stocks.

BRASSEURS

Nicolas Dartiguepeyrou, 32 ans, titulaire du brevet d’avocat. Il se passionne pour le VTT et pratique le badminton en club. Il occupe le rôle de président de la SÀRL.

Eugenio De Bilio, 31 ans, Enseignant. Il pratique l’escrime médiévale et se passionne pour les jeux de plateaux. Il est responsable des commandes et relations fournisseurs.

Nicolas Dousse, 31 ans, Ingénieur de Projets Techniques. S’intéresse à la mécanique de précision, la politique et s’exerce au tir sportif. C’est notre trésorier et responsable technique.

Olivier Glaus, 29 ans, Digital Product Owner. Il pratique le Curling et le Télémark dès que possible. Il exerce le rôle de responsable évenementiel et responsable clients.

Cédric Rinolfi, 31 ans, Juriste fiscaliste. Pratique le golf et s’intéresse à l’agriculture et aux produits de terroir. Administrateur en charge de la planification et l’organisation des brassages.

Michael Savary, 33 ans, Intégrateur IT. Il s’entraîne à la natation compétitive et se fascine pour la mobilité douce. Il s’assure des contrôles qualité et de la gestion des stocks.

Historique de la Brasserie

Découvrez comment la Brasserie des 5 Communes à vu le jour

 

       

Pourquoi de la bière Belge ?

En Juillet 2013, l’équipe part pour un voyage d’une semaine alors que seuls deux d’entre eux connaissent la destination.

Arrivé aux portes de la Belgique en camping-car, chacun se voit remettre un programme avec l’itinéraire prévu. Le but est de traverser la Belgique, en visitant (dans la limite du possible) les abbayes trappistes et en dégustant leurs produits.

Comme une amertume

De retour en Suisse après avoir bu ce qu’ils considèrent comme les meilleures bières du continent, ils peinent à retrouver goût aux bières courantes du marché local et se dirigent vers les bières artisanales espérant y trouver leur bonheur.

Manque de chance, la conjoncture du marché local de la bière artisanale est en plein dans sa phase d’expérimentations, plus précisément celle du “Kill it with Hops” (achève-là avec du houblon) comme la surnomme les anglo-saxons. Bien que l’IPA et consœurs soient des bières louables, cela ne correspond pas aux saveurs des bières belges dont ils sont à la recherche.

Jamais mieux servi que par soi-même...

Heureux hasard, Christophe, un de leurs amis proches et étudiant en master de Chimie, se lance dans la confection modeste de bière à la même période.

Ensemble, ils brassent quelques recettes semblables aux breuvages tant appréciés lors de leur voyage (sans grand succès). Quand Chris part à Zurich faire son doctorat, il lègue son matériel aux autres en espérant qu’ils en fassent bon usage.

Le coup de moût

S’en suivent ~2/3 années durant lesquelles les brassages deviennent très peu courants, mais suivent toujours la même recette et quelques simples itérations pour améliorer continuellement cette dernière.

La bonne surprise

En Septembre 2016, une organisation d’étudiants de l’UNIGE organise une soirée bières artisanales à laquelle l’équipe est invitée à participer.

Le succès de leur bière typée Belge est flagrant : malgré les géants du milieu présents aux stands voisins, le stock de bières des cinq communes s’écoule en un temps record.

Un nouveau départ

A la suite de l’événement, la Brasserie des cinq communes est crée et les membres décident de s’y investir à plus grande échelle.

Son nom provient de l’emplacement des locaux, situés à l’intersection de 5 communes genevoises (Carouge, Veyrier, Troinex, Plan-les-Ouates et Lancy).

Son logo représente d’ailleurs le pont de la Drize, construit à quelques pas seulement de la brasserie.

Et depuis ?

La Brasserie a augmenté sa production de 800%, automatisé un bon nombre de ses processus manuels, et de manière générale a augmenté son empreinte au sein du marché genevois.

La Brasserie vend ses produits dans quelques établissements sur le canton, prenant toujours garde à ne pas se laisser dépasser par le demande et risquer d’épuiser ses stocks.

Pour la suite

En 2019, la stratégie de la Brasserie s’adapte légèrement. Les brasseurs décident de ne pas accroître la quantité d’établissements de distribution malgré la croissance de la production.

Ils préfèrent s’investir dans la participation aux manifestations brassicoles locales, afin d’être directement au contact des consommateurs, et pouvoir ainsi échanger avec eux sur leur passion commune.

Historique de la Brasserie

Découvrez comment la Brasserie des 5 Communes à vu le jour

 

       

Pourquoi de la bière Belge ?

En Juillet 2013, l’équipe part pour un voyage d’une semaine alors que seuls deux d’entre eux connaissent la destination.

Arrivé aux portes de la Belgique en camping-car, chacun se voit remettre un programme avec l’itinéraire prévu. Le but est de traverser la Belgique, en visitant (dans la limite du possible) les abbayes trappistes et en dégustant leurs produits.

Comme une amertume

De retour en Suisse après avoir bu ce qu’ils considèrent comme les meilleures bières du continent, ils peinent à retrouver goût aux bières courantes du marché local et se dirigent vers les bières artisanales espérant y trouver leur bonheur.

Manque de chance, la conjoncture du marché local de la bière artisanale est en plein dans sa phase d’expérimentations, plus précisément celle du “Kill it with Hops” (achève-là avec du houblon) comme la surnomme les anglo-saxons. Bien que l’IPA et consœurs soient des bières louables, cela ne correspond pas aux saveurs des bières belges dont ils sont à la recherche.

 

Jamais mieux servi 0que par soi-même...

Heureux hasard, Christophe, un de leurs amis proches et étudiant en master de Chimie, se lance dans la confection modeste de bière à la même période.

Ensemble, ils brassent quelques recettes semblables aux breuvages tant appréciés lors de leur voyage (sans grand succès). Quand Chris part à Zurich faire son doctorat, il lègue son matériel aux autres en espérant qu’ils en fassent bon usage.

Le coup de moût

S’en suivent ~2/3 années durant lesquelles les brassages deviennent très peu courants, mais suivent toujours la même recette et quelques simples itérations pour améliorer continuellement cette dernière.

La bonne surprise

En Septembre 2016, une organisation d’étudiants de l’UNIGE organise une soirée bières artisanales à laquelle l’équipe est invitée à participer.

Le succès de leur bière typée Belge est flagrant : malgré les géants du milieu présents aux stands voisins, le stock de bières des cinq communes s’écoule en un temps record.

Un nouveau départ

A la suite de l’événement, la Brasserie des cinq communes est crée et les membres décident de s’y investir à plus grande échelle.

Son nom provient de l’emplacement des locaux, situés à l’intersection de 5 communes genevoises (Carouge, Veyrier, Troinex, Plan-les-Ouates et Lancy).

Son logo représente d’ailleurs le pont de la Drize, construit à quelques pas seulement de la brasserie.

Et depuis ?

La Brasserie a augmenté sa production de 800%, automatisé un bon nombre de ses processus manuels, et de manière générale a augmenté son empreinte au sein du marché genevois.

La Brasserie vend ses produits dans quelques établissements sur le canton, prenant toujours garde à ne pas se laisser dépasser par le demande et risquer d’épuiser ses stocks.

Pour la suite

En 2019, la stratégie de la Brasserie s’adapte légèrement. Les brasseurs décident de ne pas accroître la quantité d’établissements de distribution malgré la croissance de la production.

Ils préfèrent s’investir dans la participation aux manifestations brassicoles locales, afin d’être directement au contact des consommateurs, et pouvoir ainsi échanger avec eux sur leur passion commune.

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